Selon une enquête de l’Ifop, “près d’une femme sur deux souffre de règles douloureuses. Ce taux s’élève à 60% chez les plus jeunes femmes, âgées de 15 à 19 ans, dont 20% déclarant avoir des règles très douloureuses”.
La douleur est d’intensité variable : elle peut aller d’un léger processus inflammatoire associé au cycle menstruel à des pathologies diagnostiquées, après de nombreux mois de souffrance, comme l’endométriose ou les kystes ovariens. Selon John Guilebaud, professeur de santé reproductive à l’University College de Londres, de nouvelles recherches indiquent que les douleurs menstruelles sont presque aussi graves qu’une crise cardiaque. Dans tous les cas, les douleurs menstruelles peuvent être invalidantes. Il existe même des pays, comme l’Italie ou le Japon, où les travailleuses peuvent prendre un congé pour règles douloureuses (en Espagne, un projet de loi a été adopté en mai qui inclut les crampes menstruelles comme motif d’accès à l’invalidité temporaire pour les travailleuses). En bref : les règles font mal. Et pour y remédier, les femmes ont toujours eu recours aux produits pharmaceutiques, au chocolat et aux remèdes de grand-mère. Depuis quelques temps, le CBD est parvenu à devenir le premier choix parmi celles qui recherchent des preuves scientifiques, mais ne veulent pas abuser des médicaments conventionnels.
Le CBD ou cannabidiol, qui est extrait du chanvre industriel, est l’un des cannabinoïdes responsables du potentiel thérapeutique de la plante de cannabis. Comme nous l’avons déjà signalé, cette substance naturelle agit sur notre système endocannabinoïde, un réseau de communication entre les cellules du corps humain qui est responsable de l’équilibre d’une série de fonctions, telles que l’appétit, le sommeil, l’inflammation et la douleur. Selon cette théorie, qui a été documentée dans de nombreuses recherches scientifiques, le CBD peut considérablement soulager les crampes menstruelles et réduire l’inflammation de l’utérus.
Bien qu’il manque des études spécifiques sur le CBD et les douleurs menstruelles, il existe des études qui établissent l’action anti-inflammatoire et analgésique du cannabidiol sur les douleurs chroniques. Selon nos utilisatrices, l’huile de CBD hakuna Oil, dans ses versions à 10% CBD et 15% de CBD, soulage les douleurs menstruelles dès deux semaines d’utilisation. Chez ProfesorCBD, nous avons également de l’huile de cannabidiol à 5% et 30%. Toutes nos huiles sont full spectrum : en dehors du CBD (l’ingrédient principal de la formule), elles contiennent d’autres substances naturelles associées à des bienfaits pour la santé, comme le CBG, le CBN, le CBC, des terpènes et des flavonoïdes. Leur taux de THC est toujours inférieur à 0,2 %. Aucune autorité sanitaire n’a signalé d’effets secondaires importants associés à l’utilisation de CBD, contrairement à d’autres médicaments. De nouveaux arguments pour surfer sur la vague du CBD ? Des études ont mis en évidence la capacité de cet ingrédient naturel à combattre les symptômes du syndrome prémenstruel : tension, sautes d’humeur, fatigue, poussées d’acné, douleurs musculaires ou articulaires. Sa polyvalence est liée à l’homéostasie : l’équilibre intégral du corps humain qui dépend, en grande partie, du système endocannabinoïde.
Particularités d’un format de plus en plus populaire
Le CBD peut être utilisé sous différents formats : fleur, crème, huile, e-liquid, gel sportif… Cependant, l’huile est le format préféré de nos utilisatrices qui cherchent à soulager les crampes menstruelles.
Consultez ici les tableaux de dosage de référence, en fonction de l’intensité de la douleur. Chaque personne, comme le rappelle la Fundación CANNA, réagit de façon différente, il est donc très important d’écouter votre corps jusqu’à ce que vous trouviez le dosage qui vous convient. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le CBD est une substance 100 % sûre, sans effets psychoactifs.
D’une pierre mille coups
Nos utilisatrices affirment que l’action est supérieure si l’huile est utilisée quotidiennement, et non seulement lorsque la douleur se manifeste. L’objectif est de rendre les règles de moins en moins douloureuses, et non de soulager une douleur ponctuelle. En outre, il est également lié à la réduction des maux de tête.